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Les Cahiers lorrains : organe des sociétés littéraires et scientifiques de Metz et de la Moselle (1922-)Périodiques de recherche; 1922-2018;La Société d’histoire et d’archéologie de la Lorraine a pour ambition de faire connaître, mettre en valeur et protéger le patrimoine et l'histoire de la Lorraine. Elle propose pour cela chaque année des activités : visites, cycles de conférences, deux journées d'études décentralisées sur un site mosellan. Elle publie également Les Cahiers lorrains, avec la participation de toutes les sections locales de la société : Metz, Bitche, Forbach, Pays de la Nied, Audun-le-Tiche, Sarrebourg, Sarreguemines, Thionville. La première édition est datée de 1922. La société diffuse sur Gallica ses numéros anciens dans lesquels une recherche se montre possible.
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La révolution française : revue historique (1881-1939)Périodiques de recherche; 1881-1939;92 vol. ; 25 cm. Périodicité : bisannuel;
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Gazette de Lorraine (1871-1907)Journalisme et journaux en France - Moselle; 1871-1907;Gazette de Lorraine. Organe officiel : paraissant tous les jours et publiant les actes du gouvernement et des diverses administrations de l'Alsace-Lorraine ["puis" nouvelles d'Alsace "puis" journal de Metz "puis" journal quotidien]]. Jusqu'au 30 déc. 1877 est l'éd. en français de : "Zeitung für Lothringen" et porte le titre de : "Gazette de la Lorraine : Zeitung für Lothringen" puis de : "Gazette de Lorraine" à partir du 25 déc. 1873. - Le 1er déc. 1908 abonnements repris par : "Le Courrier de Metz : journal politique...". Le sous-titre varie légèrement.
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Annuaires et almanachs de l'Instruction publique (1801-1875)Annuaires; 1851-1930; Institut national des sciences et des arts; Delalain, Jules (1810-1877);Cette notice composite rassemble des almanachs et annuaires de l'instruction publique publiés depuis l'an IX (1801) jusqu'en 1870. Les articles susceptibles d'être en relation avec MathsInMetz concernent essentiellement l'Université, les recteurs, les inspecteurs des écoles et collèges en poste, l'Académie de Metz, les professeurs du lycée et de l'école normale primaire de Metz, les comités de surveillance, les écoles militaires, la Société d'Encouragement pour l'Instruction primaire.
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Bulletin administratif de l'instruction publique (1850-1890)Périodiques officiels; 1850-1892;De 1828 à 1849, parait le Bulletin universitaire contenant les ordonnances, réglemens et arrêtés concernant l'instruction publique. Publié à partie de 1850 par le Ministère de l'instruction publique et des cultes, le Bulletin prend alors la dénomination de Bulletin administratif du ministère de l'instruction publique, nom qu'il conserve encore aujourd'hui. Chaque numéro comprend deux parties : 1° la partie officielle, subdivisée en Législation et Personnel ; 2° la partie non officielle qui contient des discours.
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Le Vœu national (1848-1883)Journalisme et journaux en France - Moselle; 1848-1883;Le 1er juin 1848 paraît le premier numéro du Vœu National, descendant direct la Gazette de Metz. Le Vœu national reprend les idées légitimistes et catholiques de la Gazette, c’est-à-dire qu’il soutient le retour de la monarchie capétienne à la tête de la nation française. Il se distingue particulièrement sur ses positions contre Adolphe Thiers (Chef du pouvoir exécutif de la République française du 17 février au 31 août 1871, et Président de la Troisième République française du 31 août 1871 au 24 mai 1873) et contre le régime républicain français. Il est aussi fermement opposé au socialisme. L’un de ses actionnaires majoritaires était d’ailleurs la famille de Wendel, ainsi que d’autres grandes familles fidèles à la maison de Bourbon. En décembre 1849, Victor Vaillant, littérateur et historien, devient le rédacteur-adjoint du journal. Il en devient le gérant en 1851.
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Journal d'éducation populaire (1842-1927)Périodiques de recherche; 1842-1927; Société pour l'instruction élémentaire (1815-);
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Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences (1835-1965)Périodiques de recherche; 1835-1965; Académie des sciences (France);
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Annuaire de l'École royale polytechnique, pour les années (1833-1842)Annuaires; 1833-1842;En 1832, la décision fut prise de faire imprimer un annuaire intitulé « Annuaire de l’École Royale Polytechnique pour 1833 », édité chez Bachelier, le gendre de Courcier, imprimeur-libraire officiel de l’école. La rédaction en est confiée au « garde des archives de l’Ecole, sous la direction de M. le Général commandant l’Ecole ». Le fascicule doit fournir des renseignements généraux sur l'école et donner la liste des élèves présents ou qui viennent de la quitter. Charles-Philippe Marielle, alors « caissier-garde des archives », assure la composition des parutions de 1833 à 1846. En ce qui concerne les contenus, le journal débute par un éphéméride. Puis sont rappelées les législations, décrets et ordonnances en relation avec l'école, enfin suit la liste des personnels de l'école et de leurs fonctions. Les élèves sont ensuite listés et des index sont fournis par origine départementale des élèves, classés par ordre d'admission et par ville d'examen. L'annuaire se termine par la liste des admissions et passages dans les diverses écoles d'application, fonction des besoins de service. La liste en est la suivante : artillerie de terre, artillerie de mer, état-major, génie maritime, génie militaire, ingénieur géographe, ingénieur hydrographe, marine royale, mines, ponts-et-chaussées, poudres et salpêtres, administration des tabacs, troupes de ligne. Le programme des connaissances exigées pour l'admission est spécifié : arithmétique, géométrie, algèbre, traduction latine, dessin, connaissances élémentaires de physique et de chimie. L'annuaire se poursuit par le nom des cours et professeurs, l'agenda des cours, le nombre de leçons, les horaires par jour de la semaine. Généralement de nationalité étrangère, les personnes autorisées à assister en tant qu'auditeurs libre aux cours donnés en amphithéâtre sont listées. L'annuaire se conclut par le règlement, la tenue, les bourses et coûts de pension.
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Annuaires de Metz et de la Moselle, Verronnais (1803-1866)Annuaires; 1831; 1836; 1844;Cette notice rassemble les annuaires sur Metz et sur la Moselle publiés entre 1800 et 1866 par les Verronnais. Quatre membres se succèdent : Louis Verronnais débute à partir de l'an VII (1798) la publication d'annuaires sous le titre "Annuaire du département de la Moselle". Ses annuaires vont connaitre le succès et devenir publiés avec de fréquentes variantes de titre jusqu'en 1812, date de son décès. Puis sa veuve poursuit l’œuvre du fondateur, de 1813 à 1821. Le fils du couple François Verronnais hérite de l'entreprise et diversifie les publications, tout en poursuivant sur ce créneau des annuaires, almanachs et statistiques départementales de 1822 à 1854. Implantée à Metz, son imprimerie va jusqu'à compter 50 ouvriers. Le dernier représentant actif de 1856 à 1866 est Jules Verronnais. Les annuaires numérisés se montrent pour l'instant assez rares. On peut accéder aux années 1831, 1836, ainsi que 1844, ce dernier paru sous le titre "Statistique historique, industrielle et commerciale du Département de la Moselle". Des informations communes concernent les écoles primaires et secondaires, les structures militaires enseignantes.
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Gazette de Metz (1831-1848)Journalisme et journaux en France - Moselle; 1831-1848;Le premier numéro de la Gazette de Metz parait le 15 décembre 1831. L’objectif du journal de Jean-Louis Ruppert est de donner une voie aux légitimistes. Ils incarnent un mouvement politique français favorable au rétablissement de la royauté et de l’intronisation de l’aîné des Capétiens (la maison de Bourbon), et s’opposent fermement aux orléanistes (qui soutiennent la maison d’Orléans pour son accession au trône de France) et aux bonapartistes (soutiens de Napoléon). En 1832, le titre devient « La Gazette de Metz et de Lorraine ». Le public de la Gazette de Metz et de Lorraine semblait principalement composé d’une certaine élite bourgeoise et intellectuelle conservatrice. L’Annuaire de la Moselle de 1835 en fait d’ailleurs l’éloge en ces termes : « La Gazette, feuille légitimiste, rédigée par MM Rupert, Mennessier, de Curel, de Cléry, du Coëtlosquet, de Viville, etc. est sans contredit, par le choix de ses articles, la grandeur de son format, la finesse de ses aperçus, la hauteur de ses idées, en fait d’art, le journal de la province le plus remarquable. Cette année, on y a surtout goûté de charmants feuilletons relatifs aux chroniques lorraines du Moyen Âge ». La Gazette de Metz et de Lorraine publie son dernier numéro, le n°2669, le 31 mai 1848 après 17 années d’existence. Elle se réincarnera dans le Vœu National dès le lendemain.
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L'Indépendant : journal politique, industriel et agricole du département de la Moselle (1830-1870)Journalisme et journaux en France - Moselle; 1830-1870;L'Indépendant de la Moselle est fondé le 1er décembre 1830. Il parait trois fois par semaine sous un format qui a plusieurs fois varié. Créé par le Parti constitutionnel, il compte parmi ses fondateurs d’éminents membres du barreau messin et fut souvent considéré comme « l’organe de la préfecture ». Alfred Mézières, membre de l’Académie Française », encore élève au collège de Metz, débute dans le journalisme en août 1845 en publiant dans l’Indépendant des chroniques théâtrales. Après quarante années d’existence, le journal cesse sa publication en octobre 1870, à la suite de l’incarcération, décidée par les autorités prussiennes, d'Edouard Mayer, alors principal rédacteur et directeur de la publication.
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Courrier de la Moselle : journal politique, industriel et littéraire (1829-1885)Journalisme et journaux en France - Moselle; 1829-1885;Périodicité : Trihebdomadaire (1829-1882); Six fois par semaine (1er oct. 1882-1885). À partir de 1871 texte en partie identique à celui de : "Courrier de Meurthe-et-Moselle". Variante(s) de l'adresse : Nancy : [s.n.] Le Courrier de la Moselle est créé en 1828 par François Blanc, professeur de géométrie à l'école de dessin de Metz, reconverti dans le journalisme. Le journal est imprimé par Sigibert Lamort. En 1829, "Le Courrier" absorbe "l’Abeille de la Moselle". On peut y lire des articles politiques, écrits sous la plume de Jean-Prosper Billaudel (avocat et préfet de la Moselle), d'Auguste Rolland (peintre), des chroniques agricoles, culturelles, d’histoire locale et les actualités de la société savante de Metz, par le poète Adolphe Rolland. Né à la toute fin de la Restauration, le Courrier de la Moselle profite de la liberté de ton accordé à la presse pendant la Monarchie de Juillet et les années qui ont suivi la Révolution de 1848. A partir de 1852, le régime de Louis-Napoléon Bonaparte impose une censure stricte sur la critique de son pouvoir. Cependant ce contrôle s’amenuise avec le temps, sans jamais complètement disparaitre, et les journaux purent soutenir ouvertement des candidats libéraux dans leurs campagnes électorales. F. Blanc resta à la tête du journal jusqu’en 1870, puis il passa le flambeau à son collaborateur Ernest Réau pour la partie mosellane, avec pour seule consigne de garder une ligne éditoriale en faveur de la démocratie. En juin 1871, la rédaction et l'impression sont transférés à Nancy; le titre devient alors : "Courrier de Meurthe-et-Moselle" mais le journal continue de paraître aussi sous le titre de : "Courrier de la Moselle" pour les abonnés mosellans. François Blanc s'installe à Nancy et y décède en 1886. La relative liberté politique que s’était accordé les journalistes du Courrier de la Moselle disparait avec l’annexion allemande. Sans jamais interdire la parution des journaux en langue française, les autorités vont prendre des mesures de censure importantes afin de diminuer leurs ventes, les obligeant à terme à cesser la publication mosellane. Le Journal sort jusqu'en 1919 pour la Meurthe et Moselle.
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Bulletin universitaire contenant les ordonnances, réglemens et arrêtés concernant l'instruction publique (1828-1849)Périodiques officiels; 1828-1849;Dessin créé pour communiquer visuellement sur le design, la construction ou sur le fonctionnement d'un objet d'étude (bâtiment, machine, artéfact)
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Mémorial de l'artillerie (1824-1867)Périodiques de recherche; 1824-1867;Rédigé par les soins du comité, avec l'approbation du Ministre de la guerre, le périodique parait tous les ans, entre 1824 et 1867.
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Mémoires de l'Académie nationale de Metz (1819-)Périodiques de recherche; Jeu de données; 1819-; Académie nationale de Metz (1757-1793, 1819-);Les Mémoires de l'Académie de Metz paraissent pour la première fois en 1821, peu de temps après la Restauration, sous le titre Société des Lettres, Sciences et Arts de Metz. Pierre-Christophe Gorcy (1758-1826), médecin en chef d'armée et premier professeur à l'hôpital militaire d'instruction de Metz, président, prononce le discours d'ouverture, lors de la séance publique du 15 avril 1821. Il relate les travaux faits par l'Académie les orientation générales de l'année scolaire 1819-1820. Puis le secrétaire Jean-Charles Herpin (1798-1872), rentier et membre de plusieurs sociétés savantes, poursuit. Il présente en deux parties, d'une part les sciences et les arts (comprendre les sciences de l'ingénieur), d'autre part les lettres. Dans la première partie, un compte-rendu du cours de Jean-Nicolas Noël (1783-1867) est fait. Noël vient de publier à Metz chez Lamort son "Traité d'Algèbre élémentaire, raisonnée et appliquée". Puis suit un compte-rendu d'un mémoire fait par Olivier sur le lavis des ombres dans les dessins techniques. Les travaux de Poncelet portant sur le géométrie projective et le principe de continuité sont relatés, de même que ceux de Savart sur la fabrication d'instruments de précision. On s'occupe d'électricité, de chimie, d'économie, de médecine et d'agriculture. Plusieurs académies généralistes de ce type se trouvent refondées sur l'Est de la France. Leurs activités s'inscrivent dans la continuité des académies royales dissoutes en 1793. Ainsi, l'Académie de Nancy publie dès 1805 son Précis des travaux de la Société des sciences, lettres et arts de Nancy (1805-1829). L'Académie de Dijon publie en 1810 Séance publique de l'Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon. Accaparée par l'épopée napoléonienne, Metz entre en jeu de manière un peu plus tardive. Dans ces assemblées locales, il s'agit de rendre compte de manière solennelle des travaux et sujets débattus dans une variété de domaines scientifiques. Des séances, questions soumises à récompenses, des expositions apportent une émulation locale. Les sujets politiques se montrent en théorie proscrits. Les questions de l'enseignement en général, celui des mathématiques en particulier, celui des écoles et différentes techniques pédagogiques mises en œuvre se montrent bien traitées, particulièrement à Metz dans laquelle plusieurs communautés voisinent et qui accueille, postérieurement à 1802, l'École d'application de l'artillerie et du génie ainsi que d'autres écoles militaires. Quelques deux cents ans plus tard, à partir de 2007, les premiers volumes numérisés, référencés à titre du dépôt légal, deviennent disponibles sur Gallica. Actuellement, les volumes des années 1819 à 2020 se montrent accessibles. Google Livres, de même qu'Internet Archive donnent également accès à certains volumes numérisés. Cependant, l'exploration des contenus ne se fait pas sans quelques difficultés. Le documentaliste ou l'historien souhaiterait disposer d'une seule notice et d'un seul moteur de recherche pour accéder à l'ensemble des documents produits. Une première difficulté provient de la revue elle-même et de ses subdivisions. Les titres, numérotations et parfois langues d'écriture, ont changé au cours de l'histoire de cette revue. À la BnF, les volumes se trouvent catalogués en plusieurs notices bibliographiques. La bibliothèque nationale distingue les parutions de 1819 à 1827, de celles parues 1827 à 2020. Certains volumes de la BnF sont numérisés, mais non OCRisés et la recherche d'années particulières passe alors par l'étude du sommaire. L'Académie a par ailleurs créé des volumes particulièrement intéressants, qui sont les tables des matières et index des contenus pour diverses périodes (1819-1871 [1873]; 1819-1895; 1819-1903; 1904-1930; 1931-1961). Le premier de ces ouvrage se trouve sur Google Livres. En provenance de diverses bibliothèques, numérisés par Google, des exemplaire des Mémoires sont en effet présents sur Google Livres. L'exploration de cette base bibliographique présente ses propres difficultés. Le catalogage se montre en effet absent et de multiples exemplaires identiques, en provenance de bibliothèques différentes, sont accessibles. Pour répondre à ces questions, un document disponible au format HTML et au format PDF a été créé aux Archives Henri Poincaré. Il rassemble les liens vers les livres numériques présents dans Gallica et Google Livres. Bonnes explorations des travaux de l'Académie !
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Journal d'éducation (1815-1828)Périodiques de recherche; 1815-1828; Société pour l'instruction élémentaire (1815-);Publié par la Société formée à Paris pour l'amélioration de l'enseignement élémentaire, le "Journal d'éducation" est publié dès 1815, date de formation de l'association à visée caritative. En 1829, le journal est renommé "Bulletin de la Société pour l'instruction élémentaire" et il reste publié jusqu'en 1841. De 1842 à 1927, il est nommé "Journal d'éducation populaire" et se trouve numérisé sur Gallica.
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Annales de mathématiques pures et appliquées (1810-1832)Périodiques de recherche; 1810-1832; Gergonne, Joseph Diez (1771-1859); Thomas de Lavernède, Joseph Esprit (1766-1848);L'histoire du journal se montre liée à celle de son créateur Joseph-Diez Gergonne (1771-1859) dont la biographie peut être brièvement retracée. Gergonne nait à Nancy le 19 juin 1771. Il est le fils d'André Gergonne, peintre et architecte à la cour du duc de Lorrraine, et de Louise-Thérèse Masso. Suite à ses études menées au collège survient la Révolution. De 1789 à 1791, il devient répétiteur de mathématiques au collège de Nancy. Engagé volontaire à la fin de l’été 1792, il est envoyé à Sarrelouis (Sarrebourg) et participe à la bataille de Valmy qui voit la France défaire l’Autriche et la Prusse. Un oncle, alors juge à Paris, lui propose ensuite un travail de secrétaire. Mais Gergonne est bientôt appelé de nouveau dans les rangs de l’armée et envoyé avec son bataillon parisien à la frontière, puis au 47e Régiment d'infanterie de Lorraine ou il devient nommé secrétaire de l’état-major. Face à la pénurie d’officiers instruits, les soldats qui avaient des connaissances étaient invités à se présenter aux examens d’admission de l’École d’artillerie de Châlons en Champagne. Lacroix est examinateur et l'entretien public se prolonge durant 4 heures, au bout desquelles Gergonne gagne le grade de lieutenant et est admis à l'école. En 1794 (année de création de polytechnique), il participe à la campagne d’Espagne puis revient ensuite à la vie civile, en 1795. En mars 1796, Il obtient sur concours une chaire de mathématiques à l’École centrale de Nîmes. En 1803, Gergonne épouse Eugénie Leclair. Il est nommé professeur de "mathématiques transcendantes" au lycée de Nîmes en 1804. Il enseigne notamment la géométrie, la trigonométrie, l'algèbre, l'analyse. Suite à de nombreux échanges effectués avec des correspondants, à partir de juillet 1810, le journal de Gergonne parait. Une livraison de 4 feuilles (32 pages) a lieu le premier de chaque mois. Les notes relatives à la rédaction, les mémoires à insérer, ouvrages à annoncer et demandes d'abonnement, peuvent être adressés au rédacteur, essentiellement Gergonne, 130 rue d'Avignon à Nîmes et chez ses successifs éditeurs, ou bien chez Courcier, libraire pour les mathématiques, 57 quai des Augustins à Paris. Charge à l'acheteur de relier les publication en un volume annuel. Gergonne grave lui-même les plaques de cuivre des figures. De 1810 à 1832, plusieurs membres de la famille Courcier se succèdent à l'édition : Louis Courcier, Veuve Courcier, M. Bachelier gendre Courcier, tous spécialistes de l'impression de journaux mathématiques. La revue fournit un avis aux relieurs. En 1816, Gergonne est nommé professeur à la chaire d’astronomie de la faculté de Montpellier. Peu après la Révolution de 1830, Gergonne devient Recteur de l’Académie de Montpellier, sans toutefois cesser ses enseignements en lycée et faculté. C’est cette surcharge d’activité occasionnée par une fonction supplémentaire qui le conduit à la fin 1831 à cesser la parution des Annales. Dans le premier numéro de 1810, parmi ses concurrents et amis, la rédaction signale "Le journal de l'école polytechnique" et "La correspondance de M. Hachette". Thomas de Lavernède s'implique deux années dans l'édition de la revue, puis Gergonne poursuit seul. Plusieurs mathématiciens messins d'origine ou d'adoption y publient des articles, parmi lesquels Poncelet, Terquem, auteur lui-même d'un autre journal à destination des élèves et professeurs. Les Annales se trouvent de nos jours intégralement numérisées dans Numdam, partiellement transcrites dans Wikisource. Publié par Liouville et ses successeurs de 1836 à 1945, le "Journal de mathématiques pures et appliquées" est souvent considéré comme une suite de la publication nîmoise. A partir de 1830, l'offre en journaux mathématiques va grandement s'élargir.
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Journal du département de la Moselle (1806-1830)Journalisme et journaux en France - Moselle; 1806-1830; Blouet, Jean-François (1745-1809); Collignon, Christophe-Gabriel (1763-1826); Jaubert, Louis de (1764-1823); Dubalay, Jean (1789-?);Le Journal du département débute sa parution en 1806. Il fait suite au "Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges" et paraît tous les quatre jours, six fois par mois. Le contenu éditorial est fait d'annonces (ventes, locations…), de nouvelles de toute la France, culturelles, judiciaires et scientifiques, ainsi que des chroniques politiques. Il rapporte par exemple en détail le siège de Metz de 1814, qui opposa les forces françaises du général Durutte aux troupes coalisées dirigées par le général russe Dimitri Mikhaïlovitch Iouzefovitch. Le 3 août 1809, le fondateur du journal Jean-François-Nicolas Blouet décède et l'imprimeur Louis Verronnais (1762-1812) tente de récupérer le titre, mais les autorités le lui refusent. Le 25 septembre 1809, Christophe-Gabriel Collignon (1763-1826), fils d'imprimeur messin, prend les rênes de la publication, pour quelques semaines seulement. Claude Lamort devient finalement propriétaire du journal le 20 octobre de la même année. Ce dernier était bien connu de Blouet car il avait assuré l’impression de son précédent titre, lorsque Blouet était « cloîtré » dans l’abbaye Saint-Vincent, au cours des épisodes violents de la Terreur (1794). En 1810, le comte Louis de Jaubert (1764-1823), bibliothécaire, prend la suite de Lamort pour rester à la tête du Journal du département jusqu’en 1819. Puis Jean Dubalay assure la succession en qualité de propriétaire rédacteur jusqu’à la fin de l’année 1830. Le périodique se trouve numérisé sur Limédia, de 1806 à 1810, et pour une sélection de numéros ultérieurs sur Gallica.
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Circulaires et instructions officielles relatives à l'instruction publique (1802-1894)Périodiques officiels; 1802-1894;Les Circulaires et instructions rassemblent les instructions adressées par les successifs ministres de l'enseignement à une variété d'acteurs : préfets, recteurs, autorités religieuses, etc. Douze volumes sont ainsi successivement publiés de 1863 à 1902. Les volumes suivants sont successivement publiés et numériquement accessibles : - Tome premier. Années 1802-1830, 1863 - Tome deuxième. Années 1831-1839, 1865 - Tome troisième. Années 1839-1850, 1865 - Tome quatrième. Années 1850-1855, 1866 - Tome cinquième. Années 1856-1863, 1867 - Tome sixième. Années 1863-1869, 1870 - Tome septième. 25 Janvier 1870 - 28 Février 1878, 1878 - Tome huitième. 11 Mars 1878- 28 Mars 1882, 1887 - Tome neuvième. 29 Mars 1882 - 26 Octobre 1886, 1889 - Tome dixième. 3 Novembre 1886 - 31 Mai 1889, 1889 - Tome onzième. Juin 1889 - Décembre 1893, 1894 - Tome douzième. Années 1894-1900, 1902
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Bulletin des lois (1794-1932)Périodiques officiels; 1794-1932;Le Bulletin des lois a été créé par la loi du 14 frimaire an II (4 décembre 1793). La Convention et le Comité de salut public, soucieux de canaliser et de coordonner les actions, se rendirent compte qu'il fallait créer un organe pour informer les administrations, notamment en province, de ce qui se votait à Paris. Un décret du 31 mars 1931 mit fin à son existence le 1er avril. Reflet des régimes politiques qui se succèdent, le Bulletin change plusieurs fois de titre au cours de son existence. Au final, 1498 numéros paraissent en 139 années d'existence. Le bulletin fut adressé de manière régulière à l'ensemble des communes de France. Il constitue une source primaire fiable pour les études historiques sur une variété de sujets, notamment sur l'histoire de l'enseignement.
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Convention nationale. Décrets prononcés (1793-1795)Périodiques officiels; 1793-1795; Convention nationale;
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Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges (1790-1806)Journalisme et journaux en France - Moselle; 1790-1806; Blouet, Jean-François (1745-1809);Le 15 janvier 1790, l’Assemblée constituante issue de la Révolution française vote la réorganisation du territoire français en 83 départements dont les limites respectent en partie le tracé des anciennes provinces. Prenant acte de cette décision, Blouet renomme les Affiches en "Journal des départements de la Mozelle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges". On remarque au passage l'orthographe initiale de la Moselle. Le premier numéro parait le 15 juillet 1790, augmenté du supplément "Annales nationales et politiques", dans lequel les délibérations de l'assemblée nationale paraissent. La périodicité du journal va varier : hebdomadaire; bidécadaire (24 déc. 1794-19 nov. 1796 ; 22 août 1798-1806); tous les jours pairs de la décade. Pendant l'épisode de la Terreur, de 1793 (an II) à 1794 (an III), Blouet est enfermé dans l’abbaye Saint Vincent, mais la publication du journal n’est pas interrompue pour autant, car Claude Lamort (1758-1828) se charge de l’impression jusqu’en 1794. Grâce à quelques appuis politiques, Blouet est libéré et le journal prospère. En 1793 an II, Blouet organise le changement de calendrier du journal. L'édition 43 du 24 octobre 1793 devient datée "Du 3e jour de la 1ere décade du 2d. mois de l’an II de la république". Le numéro 1 de l'année suivante 1794 débute le 25 décembre 1793 "Du 5e jour du mois Nivôse de l’an III de la république". La parution 51 a lieu le 18 décembre 1794. Mais le nouveau calendrier s'avère peu fonctionnel pour le Journal et dès 1795, calendrier républicain et traditionnels sont mentionnés côte à côte. Le n°1 de l'an IV paraît le 26 septembre 1795. Les imprimeurs sont successivement Claude Lamort, puis Verronnais en l'an IV (1795-1796). En 1797 (an V), Blouet crée sa propre imprimerie en Chandellerue à Metz. Le 24 février 1801 le journal fusionne avec "L’Abeille des Gazettes et journaux des départemens de la République et des pays étrangers" pour régler les problèmes financiers que connaissent les deux rédactions. En 1802, le "Journal de Metz (1799-1802)" de Verronnais est absorbé. En 1806 le journal change de nouveau de nom pour mieux représenter son lectorat cible : il devient le "Journal du département de la Moselle". La politique éditoriale par contre change peu. Parmi les nouvelles politiques, la fuite du roi et son arrestation à Varennes (du 20 au 25 juin 1791) est relatée dans le numéro du 28 juin des Annales nationales et politiques. "Assemblée Nationale. Séance du 21 juin. M. le président a annoncé la fuite ou l’enlèvement du roi et de sa famille". Une autre annonce parue le 20 octobre 1791 "Éducation Nationale. La municipalité vient d'établir en cette ville, à commencer du 2 novembre prochain, 13 cours d'enseignemens publics et gratuits. Savoir: 1°. de langue françoise; 2°. de langue allemande; 3°. de langue latine, divisée en trois classes, élémens, traduction, composition, sous trois professeurs seulement; 4°. de belles-lettres françoises ; 5°., de belles- lettres latines; 6°; de logique françoise; 7°. de logique latine; 8°. d'histoire et de géographie, ancienne et moderne; 9°., de physique; 10°, de mathématiques; 11°. d'histoire naturelle; 12°. d’élémens du commerces 13°. enfin, de morale et de droit public. Tous les jeunes citoyens, tant du dedans que du dehors, s’empresseront sans doute de profiter des avantages de cet établissement, unique dans la circonstance". Le numéro du 5 octobre 1796 (14 Vendém an 5 (N°. 3.) mentionne : "L'examen des candidats pour l’école polytechnique, s'ouvrira à la maison commune de Metz, le premier brumaire prochain , huit heures du matin, par le citoyen Lebrun, nommé examinateur, et en présence des Commissaires nommés par l'Administration municipale, il continuera tous les jours, depuis 8 heures du matin jusqu'à midi, et de 2 à 6 heures du soir, et sera définitivement clos le 10". année; numéros; pages par année; titre principal; imprimeur; format 1790; 52; 416; Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges; Claude Lamort; 8 pages 1789-1806; 192; 372; Annales Nationales et Politiques; Claude Lamort; 4 pages 1791; 52; 416; Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges; Claude Lamort; 8 pages 1792; 52; 414; Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges; Claude Lamort; 8 pages 1793; 52; 418; Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges; Claude Lamort; 8 pages 1794 (an III); 51; 410; Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges; Claude Lamort; 8 pages 1795/09/26-1796/09/20 (an IV); 72; 584; Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges; Verronnais Imprimeur place de la Loi; 8 pages 1796/09/27-1797/09/27 (an V); 162; 743; Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, etc ; Blouet Imprimeur; 4 pages 1797/09/23-1798/08/17 (an VI); 165; ?; Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, etc ; Blouet Imprimeur; 4 pages En matière de numérisation, le périodique est disponible de manière partielle à la BnF et de manière intégrale sur Limedia, bibliothèque de Metz.
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Gazette nationale ou le Moniteur universel (1789-1901)Périodiques officiels; 1789-1901;Créée le 24 novembre 1789 par Charles-Joseph Panckoucke, la "Gazette nationale ou Moniteur universel" est publiée jusqu'en 1901. Le quotidien retranscrit fidèlement les débats et délibérations des assemblées législatives. La feuille devient, à partir de la révolution et jusqu'en 1868, l’organe officiel du gouvernement français. Elle se divise en deux parties, la première, traite des travaux et décisions des assemblées et de l'État; la seconde, concerne les événements marquants de la politique intérieure et étrangère de la France, des arts, des lettres et des sciences. À la fin de l’année 1868, le monopole de l’information officielle revient au "Journal officiel". La diffusion du Moniteur diminue ensuite progressivement (14 000 exemplaires en 1880). En 1902 – alors qu'il entame sa 113e année de publication – Le "Moniteur universel" fusionne avec "Le Soleil" et la parution cesse. En 2018, la BnF met en ligne une version numérique du Moniteur, journal particulièrement important pour les études historiques datées de la Révolution au début du 20e siècle. Les contenus se montrent possibles à chercher depuis l'interface de RetroNews.
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Affiche des Évêchés et Lorraine (1780-1790)Journalisme et journaux en France - Moselle; 1780-1790; Blouet, Jean-François (1745-1809);Le titre "Affiche des Évêchés et Lorraine" en 8 pages sur 2 colonnes paraît de manière stable à partir de 1780. En plus de l'éditions de son journal, Brondex entreprend une diversification de ses activités. En 1775, il prend bail avec son épouse de la terre et seigneurie de Villers au Bois, localisée non loin d’Épernay. Il se charge aussi de la gérance des biens de M. de Flavigny. Ce dernier ne pouvant obtenir le paiement du revenu de ses terres le fait incarcérer en 1781. Brondex cède alors son titre à l'avocat du Parlement, Jean-François Blouet (1745-1809) qui en devient le directeur et rédacteur à compter du 1er janvier 1782. Brondex publie ensuite des textes et poésies en patois. Il se rend à Paris. En 1794, il tente de publier "Le Journal du peuple français" dont un seul exemplaire est connu. Le titre "Affiche des Évêchés et Lorraine" continue de paraître tel que précédemment. Blouet et la rédaction restent localisés en Fournirue. Les imprimeurs sont successivement Joseph Antoine, puis Claude Lamort à partir de décembre 1784, tous deux installés à Metz avec privilège. On souscrit à Metz, Nancy et vers 1789 Verdun. Le 7 janvier 1790, parait "Supplément aux Affiches des Évêchés et Lorraine", périodique en 4 pages qui relate trois fois par semaine les discussions menées par l'Assemblée nationale à Paris. Alors que les Affiches restent publiées une fois par semaine le jeudi, le supplément l'est les mardi, jeudi et dimanche. Le 1er mai 1790, le supplément est renommé "Annales nationales et politiques". La numérotation courante des pages de l'année est maintenue. À partir du 15 juillet 1790, date symbolique forte, sort un journal en deux parties éditorialement plus stable. Les Affiches sont renommées "Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges" et sortent toujours le jeudi de chaque semaine. Elles contiennent en 8 pages numérotées des petites annonces, nouvelles locales, politiques sciences et arts, prix des grains. Les "Annales Nationales et Politiques" continuent leur parution tri-hebdomadaire. Les nouvelles politiques nationales sont diffusées avec un retard d'une semaine environ sur les événements parisiens. Parmi les annonces, on lit ainsi dans les Affiches du 7 janvier 1790 : "Le sieur Lamort Imprimeur à Nancy qui a fait l’acquisition du Privilège de l’Almanach de Lorraine que possédoit feue Mme. Charlot, annonce qu'il a donné cette année tous les soins pour que cet ouvrage soit digne de l'attention du Public". Des "Avis divers" concernent l'édition ou l'enseignement primaire : "Un Ecclésiastique habitant la campagne prend des pensionnaires de l’âge depuis 9 jusqu'à 15 ans auxquels il enseigne le latin, l’allemand, la géographie, l’histoire, & les premiers élémens des mathématiques. [...] moyennant cent écus de pension, dont moitié payable en entrant". année; parutions par année; pages par année; titre principal; imprimeur; format 1780; 52; 417; Affiches des Évêchés et Lorraine; Joseph Antoine; 8 pages 1781; 52; 418; Affiches des Évêchés et Lorraine; Joseph Antoine; 8 pages 1782; 49; 408; Affiches des Évêchés et Lorraine; Joseph Antoine; 8 pages; irrégulier 1783; 51; 416; Affiches des Évêchés et Lorraine; Joseph Antoine; 8 pages 1784; 52; 424; Affiches des Évêchés et Lorraine; Joseph Antoine, Claude Lamort; 8 pages 1785; 52; 416; Affiches des Évêchés et Lorraine; Claude Lamort; 8 pages 1786; 49; 408; Affiches des Évêchés et Lorraine; Claude Lamort; 8 pages 1787; 51; 416; Affiches des Évêchés et Lorraine; Claude Lamort; 8 pages 1788; 50; 416; Affiches des Évêchés et Lorraine; Claude Lamort; 8 pages 1789; 52; 434; Affiches des Évêchés et Lorraine; Claude Lamort; 8 pages 1790; 26; 216; Affiches des Évêchés et Lorraine; Claude Lamort; 8 pages 1790; 47; 188; Supplément aux Affiches des Évêchés et Lorraine; Claude Lamort; 4 pages 1790; 48-93; 188-372; Annales Nationales et Politiques; Claude Lamort; 4 pages 1790; ; ; Journal des départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des Ardennes et des Vosges (1790-1806)